Bien que pratiquées depuis des siècles, de nombreuses pratiques énergétiques n’ont pas la côte auprès des scientifiques.
La Géogiologie en fait partie. Tout comme la Sourcellerie (localisation d’eau souterraine), la Radiesthésie (baguette et pendule), les soins énergétiques (Acupuncture, Shiatsu, Reiki, barreurs de feu, rebouteux...), les rituels de guérison (arbres à clous, pierres et sources miraculeuses)...
Pourquoi ce manque d'intérêt ? Avant tout parce que ces phénomènes énergétiques invisibles, extrasensoriels ou spirituels sont difficiles à étudier. Pour une question de vibrations (trop ténues pour être mesurées avec des appareils transportables), pour une question de reproductibilité des expériences (rarement possibles à l’identique), une question de décalage par rapport aux fondements scientifiques occidentaux ou une question de réputation ésotérique…
Mais les avancées de la physique quantique créent chaque année de nouveaux ponts entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, entre le démontrable et l’inexpliqué, entre la Science et le Spirituel.