Nous entrons tous en résonance avec ce qui nous entoure

Les êtres vivants émettent des champs vibratoires (chaleur, émotions, vitalité…), mais c’est aussi le cas pour les lieux dans lesquels nous vivons, même si ceux-ci nous paraissent « inertes ». Ces ondes électromagnétiques (très subtiles) transmettent en permanence des informations décodables. Certaines d’entre elles entrent en résonance avec notre organisme physique, notre mental ou nos émotions (voire notre spiritualité).

Selon leur fréquence et leur intensité, ces vibrations énergétiques peuvent éveiller notre intuition, nous alerter d’une anomalie, nous procurer un bien-être ou au contraire nous mettre mal à l’aise. L’exposition prolongée à certains rayonnements peut occasionner une excitation anormale ou un affaiblissement préoccupant sur le long terme.

Les ressentis énergétiques étaient vraisemblablement plus aiguisés par le passé, lorsque les hommes vivaient davantage en communion avec la nature. La plupart des lieux de vie anciens tiennent compte de ces fréquences. C’est flagrant pour l’implantation des sites religieux, mais aussi pour la disposition des fermes dans les villages, le tracé des chemins, les vignobles et aires agricoles…

Il existe beaucoup de phénomènes vibratoires invisibles

Les plus souvent évoqués sont les rayonnements énergétiques qui émanent de la terre et du cosmos, discrets mais omniprésents. Les failles géologiques et les veines d’eau souterraines, par exemple, sont parmi les plus nettes à ressentir. Les vibrations magnétiques qu’elles génèrent provoquent, malgré leur faible intensité, des sensations de « décharge », voire d’épuisement.

Les métaux en fusion mis en mouvement par la giration de la terre (magma) émettent aussi des ondes très caractéristiques, qui prennent la forme de « réseaux telluriques », de filets aux mailles géantes. Plusieurs portent le nom des géobiologues qui les ont mis en évidence (Hartmann, Curry, Peyré, Palm…) Chaque réseau métallique possède une influence spécifique sur les êtres humains.

Les ouvrages de référence évoquent également des courants vibratoires liés aux planètes ainsi que des lignes plus « spirituelles » (Ley lines, lignes de guérison, arc-en-ciel, cristal, mariales, druidiques…), souvent liées à des sites sacrés. On les observe occasionnellement dans de plus humbles édifices.
Tous ces phénomènes géobiologiques laissent une « signature » vibratoire propre dans notre corps (qui est notre meilleure antenne). Celle-ci se manifeste notamment au niveau des « chakras » (centres énergétiques corporels de la médecine hindoue ancienne). On peut aussi les identifier au pendule ou avec des baguettes de sourcier.
 

Des amplificateurs énergétiques naturels

Au croisement des veines d’eau, lignes et réseaux, on découvre de temps à autre des phénomènes géobiologiques étonnants, tels que des « vortex » ou des « cheminées cosmotelluriques », impressionnants par leur taille et leurs vibrations, qui régulent des échanges entre des points polarisés éloignés. Ces belles manifestations énergétiques peuvent avoir un impact important sur nos activités domestiques.

Il y a, dans chaque maison, dans chaque jardin, un endroit ou l’autre qui permet de se « recharger » en énergie lorsqu’on manque de tonus. A l’inverse, il est utile d’identifier aussi les points de « décharge », précieux lorsqu’on se sent agité ou nerveux, en particulier avant de fermer l’œil.

Les animaux, plantes et objets

Bien sûr, la faune et la flore rayonnent également d’énergies spécifiques. Des animaux domestiques, des arbres et des plantes d’intérieur émanent généralement des ondes très bénéfiques, sauf si ceux-ci sont « en souffrance » pour une raison ou une autre (animaux malades ou en cage, mauvaise implantation, sol pollué…)

Quant aux objets, ils gardent en mémoire les étapes de leur fabrication, leurs déplacements, leurs changements de propriétaire, les événements qu’ils ont subis. Des souvenirs globalement très anodins, sauf dans certains cas (objets de culte, attachement particulier, vol, usage violent…)
Dans les jardins, certains arbres et arbustes peuvent se sentir mal à l’aplomb d’une veine d’eau, par exemple. On les repère à leur forme (peu de vitalité, fourche à la base, tronc torsadé ou oblique…)
 
 

Nous sommes rarement seuls dans la maison…

On trouve également dans nos logis des « présences » énergétiques, c’est-à-dire des êtres invisibles liés à l’édifice ou à ses occupants. Ainsi, il y a souvent un « esprit des lieux », voire un ou des « gardien(s) », dans la maison, qui nous renseignent utilement sur l’histoire et l’état vibratoire du site.

On y rencontre parfois des « êtres de la nature », des « êtres spirituels » (comme ceux que les chrétiens et musulmans appellent des anges), voire des personnes défuntes, déjà dans la Lumière ou dans l’attente de leur ascension.

Ces créatures énergétiques, conscientes et agissantes, peuvent être là pour veiller sur la maison ou ses habitants, y être liées par un attachement particulier ou attendre une aide pour passer vers un « plan vibratoire » qui leur convient mieux. Dans ce dernier cas, il est bienvenu de les accompagner dans ce passage, pour les libérer. Comme ces présences ont besoin d’énergie pour survivre (une force qu’elles trouvent sur des croisements géobiologiques ou auprès des habitants eux-mêmes), ces « montées d’âmes » allègent en parallèle les lieux et ses occupants.
La plupart des animaux sont bien plus réceptifs que les êtres humains aux vibrations électromagnétiques (zones pathogènes, imminence d’un orage ou d’une secousse sismique, état émotionnel des personnes…) Ainsi, les chats et les chiens sont souvent sensibles aux présences invisibles, on peut s’en rendre compte à certains comportements inattendus.
 
 

La « mémoire des murs »

Les édifices gardent également le souvenir des personnes qui les ont habités, des événements qui s’y sont déroulés. Non pas de tout ce qui s’y est dit et fait, mais des moments très intenses, comme les grandes fêtes, la naissance d’un enfant, la préparation d’un beau projet… Ainsi, malheureusement, que des disputes familiales, des épidémies, des incendies, des morts violentes, des détresses et angoisses partagées. On évoque ces émotions collectives sous le nom de « formes-pensées » ou d’« égrégores ». Certains espaces en sont si imprégnés qu’ils donnent la chair de poule.
Parfois, ce sont des objets qui sont chargés de souvenirs tumultueux, d’émotions fortes, au point de devenir « contagieux » pour les êtres sensibles. Telle cette vieille penderie achetée en brocante, ce miroir de famille, cette collection d’armes anciennes, cet instrument passé dans de nombreuses mains. Sans oublier les grigris, amulettes, statuettes et autres fétiches programmés par un rituel magique. Il est important de leur rendre un état de neutralité vibratoire pour rétablir l’harmonie des lieux.
 

Ne pas sous-estimer l’exposition aux rayonnements électromagnétiques d’origine humaine

Lorsque nous parlons d’ondes, nous pensons aussi à celles de notre téléphone portable, au Wifi ou aux fours à micro-ondes, voire aux téléphones sans fil ou à la 5G. Ces rayonnements, peu recommandés à haute dose, sont relativement aisés à identifier grâce à des détecteurs électroniques.

Si les fréquences émises par les lignes à haute-tension sont quasi impossibles à neutraliser, celles de certains appareillages peuvent être atténuées dans leurs effets (comme les compteurs électriques, les onduleurs de panneaux photovoltaïques, les routeurs internet…) De même, les courants électriques parasites peuvent être canalisés par une mise à la terre appropriée.

L’exposition aux rayonnements électromagnétiques « artificiels » a considérablement augmenté depuis l’électrification de nos maisons, l’utilisation massive des ondes radio puis TV, l’apparition des satellites de communication et des radars, des antennes Wifi, du GPS et des communications sans fil pour les téléphones cellulaires (3G, 4G, 5G). Heureusement, nos organismes se familiarisent progressivement avec cette montée en puissance. Mais il convient de rester prudents...