La grande majorité des édifices de culte chrétiens possèdent une implantation très étudiée, agencée pour être dans l’axe d’une voie d’eau souterraine et de certains astres (à des dates précises). Les sites sur lesquels ils se dressent offrent des points de connexion à la terre (ancrage tellurique) et au « Ciel » (énergie cosmique).
L’emplacement (original) des autels, du tabernacle, de la chaire à prêcher, des statues de dévotion, du pupitre du chantre, du banc de communion, des fonts baptismaux ou même des confessionnaux y est soigneusement calculé pour bénéficier de ces effets. C’est dans le chœur que la concentration des énergies est la plus grande (croisements en étoile, lignes de guérison, cheminées, vortex…), pour donner plus d’intensité aux actes liturgiques.
Certaines églises possèdent aussi un parcours de « nettoyage » spirituel pour les pèlerins et les fidèles, fondé sur une alternance de zones de décharge et de recharge. Sans parler de certaines programmations plus élaborées, comme les anneaux de protection autour du site, les labyrinthes, les portails dimensionnels ou les « carrés magiques ». Des phénomènes comparables s’observent dans bien d’autres édifices religieux à travers le monde, et cela à toutes les époques.
Ces belles vibrations initiales ont malheureusement souvent été altérées par la modification structurelle des volumes originaux, les événements tragiques qui s’y sont produits (incendies, pillages, bombardements…), le déplacement des autels et des statues, le creusement de tombes, l’implantation du système de chauffage souterrain… Malgré tout, les cérémonies religieuses, les chants et les processions, les prières quotidiennes et la ferveur collective ont longtemps maintenu vivante cette densité spirituelle caractéristique, « palpable » et émouvante.
Aujourd’hui, la fermeture des églises et la diminution du nombre de fidèles privent petit-à-petit ces lieux de ressourcement de leur résonance sacrée. Les souffrances, les peurs et les incompréhensions confiées aux statues de saints s’accumulent en « nuages » pesants, qui irradient leur tristesse. C’est là qu’un géobiologue peut utilement intervenir, pour alléger les lieux de certaines mémoires anciennes, inviter les âmes en peine à se diriger vers la Lumière, raviver les énergies cosmotelluriques engourdies et identifier certains points vibratoires de nature à accompagner l’élan spirituel de l’assemblée.