Bien entendu ! On y décèle autant de phénomènes géobiologiques que dans nos espaces bâtis. Nombre de parcs d’époque ont été dessinés en fonction de repères énergétiques.
La vibration de certains arbres, points d’eau, chemins qui se croisent ou affleurements rocheux est généralement remarquable. Le travail du géobiologue consiste plus à mettre ces fréquences en évidence, pour qu’il soit possible de s’y relier, plutôt que d’atténuer des manifestations qui perturberaient l’activité humaine.
Dans le cas d’un jardin potager ou d’un verger, il peut être utile d’identifier plus précisément les veines d’eau souterraines (plusieurs arbres et plantes dépérissent sur leur parcours), ainsi que les principaux courants cosmotelluriques. Certains êtres de la nature peuvent devenir de merveilleux alliés pour veiller sur vos fruits et légumes si vous les reconnaissez dans ce rôle.
Notons qu’il est possible de localiser les « points foudre » autour des maisons ou au cœur des cultures. Certains géobiologues peuvent les générer artificiellement (par exemple pour protéger des vignobles), mais je ne maîtrise pas encore cette pratique.